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sousleschemins

12 juillet 2023

titre de la chanson "Dis le moi quand même" du groupe "Roulez Jeunesse"

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31 mars 2012

Glanum

Glanum

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était une cité antique de l'empire romain située sur la commune de Saint-Rémy-de-Provence dans les Bouches-du-Rhône. Elle a connu son apogée à l'époque du premier empereur romain Auguste. Son développement s'est appuyé sur la protection des reliefs des Alpilles, la présence d'une source (sacrée) et le voisinage de la Voie Domitienne.

La ville repose sur plusieurs strates d'occupation : période gauloise, puis période hellénistique, et enfin période romaine.

Localisation

Glanum est une ville sanctuaire au carrefour de deux voies antiques reliant l'Italie à l'Espagne, l'une par les Alpes. À l’entrée du site, on aperçoit lemausolée de Glanum et l'Arc de triomphe de Glanum, voisin de quelques mètres, qu'on appelle traditionnellement les « Antiques de Saint-Rémy-de-Provence ».

Ces deux monuments se dressent sur le plateau des Antiques, aux portes de Saint-Rémy. Leur situation au flanc des Alpilles, devant un noble horizon, dans un décor à la fois sobre et varié qui semble avoir été composé pour eux, les rend infiniment émouvants ; la solitude, leur demi abandon y ajoutent un charme inoubliable. L’arc de triomphe, qui enjambait la voie romaine d’Arles à Milan, à l’entrée de la petite ville, fut élevé pour commémorer la fondation de la cité de Glanum

Histoire  

La fondation de la ville de Glanum remonte au Premier Âge du Fer, avec un aménagement de pente au-dessus d'une source que l'on suppose avoir été très tôt un lieu de culte (associé au dieu Glan ou Glanis). De plus, les falaises et les collines proches formaient des remparts naturels, ce qui était à l'époque un atout défensif. La ville se développe considérablement au cours du IIe siècle av. J.‑C. après une longue stagnation de deux siècles. En effet, dès le ive siècle av. J.‑C., le rapide développement de la ville d'Arles attire les forces vives de toute la région et des Alpilles. Mais la première moitié du IIe siècle av. J.‑C. marque l'arrêt de l'expansion arlésienne et, peu à peu, les élites locales se disséminent de part et d'autre, ce qui va participer au fort développement de Glanum. Le sanctuaire est protégé par une enceinte mais la ville s'étend plus largement en direction des Antiques. Le peuple des Glaniques appartenait à la confédération des Salyens.

Dans les derniers temps de l'indépendance, de véritables constructions de type grec, directement inspirées de Marseille, sont édifiées : maisons à péristyle, temple, puits à dromos... L'imitation est telle que l'on trouve également un bouleutérion et un prytanée. L'ensemble, encore bien préservé de nos jours, a pu faire croire à une occupation de la ville par les Marseillais. Il semble au contraire que la confédération des Salyens ait connu là ses derniers feux, peut-être entre la prise d'Entremont en 125/124 et le triomphe de Caecilius sur les Salyens daté de 90 av. J.-C.

Stèles du site de Glanum (autels votifs dédiés à Hercule).

Les Romains, après avoir vaincu les Gaulois, s'installèrent dans la ville, désormais appelée Glanum. Ils y créèrent un réseau important d'adduction en eau avec des canalisations en plomb ainsi qu'un vaste réseau d'assainissement par des égouts. On y érigea des temples en l'honneur de l'empereur et de la famille impériale, des thermes, une basilique, une curie, un forum. Les Romains continuèrent de vénérer la source, où les vétérans des légions venaient faire soigner leurs blessures. Agrippa lui-même vint y faire soigner sa jambe, et en remerciement fit construire un temple dédié à Valetudo, déesse romaine de la santé.

La ville connut une période de prospérité, jusqu'au jour où les Barbares la saccagèrent; elle fut alors abandonnée, ses pierres utilisées pour construire la ville voisine de Saint-Rémy-de-Provence et ses vestiges disparurent sous les alluvions s'écoulant des Alpilles voisines. Glanum fut redécouverte par les archéologues au XXe siècle. Les premières fouilles débutèrent en 1921 et les grandes campagnes se déroulèrent jusqu'au début des années 70. Depuis, les archéologues ne sont plus sur place en permanence mains reviennent de temps à autres pour de nouvelles recherches. Les dernières fouilles étaient préparatoires à la restitution du forum inauguré en 2008

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12 juillet 2023

Pierre Lapointe titre "Les fleurs d’une autre dimension"

1 septembre 2022

Arnay-Le-Duc

 

Arnay-Le-Duc 

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Bataille du 27 juin 1570 : pendant les guerres de religion, les armées catholiques du maréchal de Cossé, y sont battues par les armées protestantes de Gaspard II de Coligny. Ce fut le premier engagement militaire de Henri de Navarre, le futur Henri IV. Jean de La Taille y est blessé.

Arrestation des tantes du roi Louis XVI en fuite février-mars 1791.

Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom d'Arnay-sur-Arroux. Elle fut chef-lieu du district d'Arnay-sur-Arroux de 1790 à 1795.Le 3 décembre 1870, durant la guerre franco-allemande, un engagement militaire y eut lieu.

 

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                                         Héraldique

Blason Blasonnement

« D'azur aux trois tour crènelée et couvertes d'argent, ouvertes d'or, ajourées, maçonnées et girouettées de sable, celle du milieu plus haute. »

3 mai 2020

Eglise De Saint Martin De Laives

Saint Martin, le XIIIème apôtre, l'apôtre des Gaules 316 - 397
Soldat - Moine - Évêque - Saint

 

Eglise De Saint Martin De Laives

Historique

Achevée en 1017, cette église romane se voit ajouter au XVe siècle, deux chapelles latérales gothiques. Le clocher contenant deux coupoles sur trompes superposées domine la nef et son exceptionnelle couverture en laves. Classée monument historique en 1905, l'architecture de l'édifice est influencée par les courants bénédictins. Elle dépendait en effet de l'abbaye Saint Pierre de Chalon-sur-Saône, soumise à la règle bénédictine.

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Saint Martin de Laives

Martinus est né en 316 dans une place forte romaine stratégiquement située sur une plaine danubienne près de la frontière de l'empire en Hongrie actuelle. Son père, Servius, officier supérieur et tribun militaire le met dès sa naissance sous la protection du dieu de la guerre : sa vie professionnelle est tracée, il sera soldat.

En 313, l'empereur Constantin 1er le Grand, avait établi la liberté religieuse mettant fin ainsi aux persécutions des chrétiens.

Vers 326, le père de Martinus est nommé à Pavie, ville de la plaine du Pô au nord de l'Italie. Martin, âgé d'une dizaine d'années a ses premiers contacts avec la nouvelle religion libérée.

En effet, grâce à Constantin, le christianisme a le vent en poupe : ne vient-il pas de convoquer le concile oecuménique de Nicée, oû l'on décide que l'Église sera l'un des principaux soutiens de l'état. L'Empire se transforme ainsi en une monarchie de droit divin.

Martin a 15 ans. Il découvre les Évangiles et se prépare au baptême. Cependant, son père lui rappelle sa carrière et l'incorpore à l'école de la garde impériale à cheval, il fera ses classes à Trêves. Nommé légionnaire, il prête serment à l'empereur et part en garnison pour l'Italie puis la Gaule Pendant toute cette période, ses chefs le reconnaissent excellent officier, déjà, il aide les faibles, distribuant son argent aux pauvres, soulageant les misères des malheureux et soignant les malades. Sa vie de tous les jours est simple, sans luxe ostentatoire, il traite son unique serviteur avec grand respect, en frère.
C'est en Gaule que se situe l'acte qui le symbolisera pour des siècles. Lors d'une patrouille près d'Amiens, Martin rencontre un vieil homme grelottant de froid. Avec son épée, il coupe son manteau et lui en donne une moitié. Une nuit suivant l'évènement, Martin fait un songe dans lequel lui apparaît le Christ prononçant ces paroles : " en couvrant ce vieil homme, c'est moi que tu as couvert ". Cette apparition lui semble une invitation à se rapprocher de Dieu.

Le samedi Saint de l'année 334, il est baptisé et confirmé. Sa vie de militaire l'entraîne à voyager et en août 336, il se trouve à Worms où l'armée romaine tente de s'opposer aux invasions barbares. Il propose à l'empereur César Julien de se porter seul à la rencontre des rangs ennemis sans armes ni protection, hormis celle de sa foi envers le Seigneur. Pris pour fou, il est enfermé dans une cellule. Mais le lendemain, au lever du jour, l'ennemi se retire et envoie des messagers de paix. Les Chrétiens voient en ce revirement de situation un miracle divin et l'empereur manifeste son trouble en libérant Martin.

En 356, le légionnaire Martin quitte définitivement l'armée et se rend chez Hilaire, évêque de Poitiers, qui lui confie la fonction d'exorciste. Puis il se rend en Italie pour voir ses parents et où il s'oppose aux ariens. A l'instar d'Hilaire, déporté en Asie Mineure, Martin est arrêté, fouetté et envoyé en résidence surveillée sur une île au large de la côte ligure.
En 360, Hilaire, gracié par l'empereur, regagne Poitiers où Martin le rejoint. Ce dernier fonde un ermitage à Ligugé. De nombreux adeptes le rejoignent car le but de Martin est de former des disciples et de les envoyer en mission auprès des païens. Pendant 10 ans, ce premier monastère gallo-romain, dont les adeptes prêchent la parole de Dieu dans toute la région, génère de nombreuses conversions poitevines. Son audience devient de plus en plus importante car Martin fait de nombreux miracles: on parlera même de la résurrection de deux morts.

En 371, l'évêque Saint Lidoire, venant de mourir, les habitants de Tours font appel à Martin pour le remplacer. Dans un premier temps, Martin refuse, se trouvant indigne de la fonction et peu disposé à quitter sa congrégation et ses disciples. Un subterfuge organisé par un tourangeau permet de le faire sortir de son monastère et on l'emmène sous bonne garde jusqu'à la Cité. Les hauts dignitaires épiscopaux dont l'évêque d'Angers critique ce choix mais le petit peuple manifeste son profond attachement à Martin qui est finalement consacré.
Le nouvel évêque gère son diocèse avec intelligence et habileté mais dans cette ville de 10 000 habitants, il s'ennuie de Ligugé. Alors, il traverse la Loire et fonde sur l'autre rive un nouvel ermitage, ce sera Marmoutier.

Cette nouvelle communauté défriche, construit, étudie religion et sciences humaines. De son éducation militaire puis d'officier dans les légions romaines, Martin a conservé le sens de l'organisation : il lance ses missionnaires parmi les païens. Et les nouvelles paroisses fleurissent : Saunay et Amboise, Langeais et Candes, Tournon et Ciran. Les temples païens sont démolis ,souvent remplacés par des chapelles ou des églises, ceci à l'instar de Saint Martin de Laives qui sera construit en lieu et place d'un temple gallo-romain dédié à Mercure.

Martin voyage beaucoup, se portant à la tête de ses " légions de moines " détruisant les idoles et convertissant les âmes dans trois directions principales : la première Chartre - Paris - Reims et Trèves, la seconde, notre chère Bourgogne - Lyon - Vienne et enfin la troisième avec l'Aquitaine. Il fréquente conciles et synodes épiscopaux. Empereurs et hauts dignitaires respectaient ou craignaient Martin non seulement en raison de ses saintes paroles mais pour ses actes miraculeux médiatisés par ses biographes successifs que furent Sulpice Sévère ancien avocat de Bordeaux, Paulin de Périgueux, Venance Fortunat et enfin plus tard le célèbre Saint Grégoire également également évêque de Tours(593 à 594).

Si les statues, peintures et dessins représentent souvent Martin à cheval lors de son geste symbolique coupant son manteau en deux, pendant sa période religieuse, il est représenté se déplaçant sur un âne. C'est ainsi que beaucoup de représentants de la gente asine doivent leur nom à ce grand voyageur.

En automne 397, Martin se rend à Candes " car les clercs de cette église se querellaient ". Après avoir rétabli la paix " il songe à revenir au monastère de Marmoutier quand les forces de son corps commencèrent tout à coup à l'abandonner ". Tous pleuraient autour du mourant qui fit cette dernière prière :

" Seigneur, si je suis encore utile à ton peuple, je ne refuse pas le travail. Que ta volonté soit faite ". Il avait 81 ans.

Martin décédé, le saint corps semble avoir été l'objet de convoitises entre poitevins du monastère de Ligugé et Tourangeaux. Une fois de plus, ce furent ces derniers qui, par ruse - d'après Saint Grégoire de Tours - le transportèrent dans une barque par la rivière Vienne puis Loire jusqu'à Tours. Ses funérailles se déroulèrent dans cette ville le 11 novembre 397.

Une liturgie particulière allait être célébrée en son honneur : la Saint Martin d'été le 4 juillet qui correspond à la messe annuelle dite à Saint Martin de Laives et la Saint Martin d'automne le 11 novembre - souvent absente des calendriers car remplacée par l'Armistice de la grande guerre- dates qui rythmaient tant d'habitudes en particulier rurales, mais ceci est une autre histoire.

En conclusion à cette rapide biographie de Saint Martin, voici un texte écrit lui aussi par un bourguignon :
"Confesseur par ses mérites, martyr par ses souffrances, apôtre par ses actes, Martin règne glorieux dans le ciel, et ici dans son tombeau; qu'il se souvienne, et qu'effaçant les péchés de notre pauvre vie, il cache nos fautes sous ses mérites ".

http://www.saintmartindelaives.com/V1/le_saint_martin.php

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24 avril 2016

Diaporama De La Bourgogne

 

La Bourgogne

La Bourgogne est une province historique et une région culturelle et historique située au centre-est de la France et constituée de quatre départements : l'Yonne, la Côte-d'Or, la Nièvre et la Saône-et-Loire.

La région doit son nom aux Burgondes qui créèrent le royaume de Burgondie, devenu royaume de Bourgogne puis des Deux-Bourgognes à l'époque carolingienne. Par la suite on distinguera le comté de Bourgogne (ou Franche-Comté de Bourgogne), qui correspond à l'actuelle Franche-Comté, du duché de Bourgogne qui correspond à peu près à l'actuelle région de Bourgogne. Les 10 plus grandes villes de la région sont Dijon (la capitale des Ducs de Bourgogne et le chef-lieu de la région), suivie de Chalon-sur-Saône, Nevers, Auxerre, Mâcon, Sens, Le Creusot, Beaune, Montceau-les-Mines et Autun.

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24 avril 2016

Petit Village de Bourgogne

 

Cheilly- Les-Maranges

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Les montagnes entourant la vallée des Maranges, le Mont Rome (Romulus), le Mont Rême (Rémus),  sont un souvenir de la présence romaine dans notre vallée. Une voie romaine, ancien chemin gaulois passait non loin de l'église et continuait vers le lavoir Saint Pierre en direction de Nolay par la Groseillère.Les origines de Cheilly remontent au IX ère siècle, le village était constitué par une église entourée de quelques maisons.Plus tard, le Château de la Motte de Chailly, datant du XIII ère siècle, situé en limite de Saint Gilles, Chamilly et de Cheilly protégeait les habitants.Dés le X dème siècle, Chailly et Messey étaient déjà regroupés comme l’atteste des manuscrits conservés aux archives de Dijon.Les familles Rollin et Choiseul ont marqués notre commune au XIII ère siècle.Sampigny, Dezize et Cheilly ont été autorisés de rajouter ‘les Maranges’ en 1897.Dans les registres municipaux, nous avons pu retrouver les noms des maires et des maitres d’école de notre commune, ainsi que l’évolution de la population de Cheilly au cours des siècles.Les évènements qui ont marqués la vie quotidienne de Cheilly, sont les épidémies de sècheresses, le phylloxéra, les guerres de 14 -18 et 39 - 45 comme en témoigne notre monument aux morts, et plus récemment la Saint Vincent Tournante de 1997 qui a mobilisé l’ensemble des habitants des Maranges.

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23 avril 2016

Un Village en Cote D’or Bouchey

 

Bouchey

 

14 Km de Pouilly en Auxois
Habitants : les bohësiens

Dominant d'une centaine de mètres la rivière, les berges du canal de Bourgogne , le village de Bouhey, accroché sur son rocher abrupt, apparait comme la fière sentinelle à qui serait confiée la garde de la vallée.

Patrimoine religieux :
Eglise du XIXe siècle construite en 1822, dédiée à Saint Claude.

Patrimoine rural :
Le lavoir a été construit sur l'emplacement d'une ancienne fontaine. Autrefois se tenaient à Bouhey des foires et des marchés et, à cet effet, des halles furent construites. Il existait une carrière de très belles pierres blanches et tendres.

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Blason

23 avril 2016

Moulin De Cote d”’or

 

Moulin

 

Sous l’Ancien Régime, le moulin relevait du droit banal : les villageois devaient utiliser contre redevance cet équipement dont la propriété était un privilège des nobles et du clergé. Les moulins étaient généralement loués à fermage à des exploitants (les meuniers). A la veille de la Révolution, beaucoup appartiennent à la bourgeoisie. Les moulins à vent étaient assez rares en Côte-d’Or, l’irrégularité des vents rendant leur utilisation délicate. Il n’en subsiste que quelques uns, dont certains communaux. Leurs silhouettes se détachent au sommet d’une colline, en général à l’écart des villages. Ce sont des moulins-tours dont seul le toit pivote, contrairement aux moulins-pivots dont tout le bâtiment tourne sur sa base. Un long mât oblique partant du toit permettait au meunier de faire tourner la structure pour orienter les ailes face au vent. Une fois positionné, ce mat était calé grâce à de grandes pierres profondément enfoncées dans le sol et dont seules dépassent les extrémités de la taille de gros pavés formant un large cercle autour du moulin. Le plus souvent à eau, parfois à manège (actionné par un animal ou par un homme), les moulins servaient aussi bien à la fabrication de la farine, de l’huile ou de la moutarde que du papier, du tan (les moulins-battoirs) ou du feutre (les foulons), et nombreuses étaient les scieries ou les forges utilisant l’énergie hydraulique. L’exploitation des moulins à eau était source de nombreux litiges liés à l’utilisation des ressources en eau ou aux pollutions engendrées. Ces constructions de taille importante sont souvent transformées en habitation privée et beaucoup ont perdu leur roue à aubes (pales plates) ou à augets, sorte de godets dans lequel tombait l’eau d’une chute.

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23 avril 2016

Chaudenay-Le-Château

Chaudenay-Le-Château

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Le château a été construit au milieu du XIIe siècle pour Jean de Chaudenay dont la famille s'éteignit au début du XIVe siècle. Il passa ensuite, par voie de successions ou de mariages, à des cadets ou à des filles de familles puissantes telles que les Vienne, les Mello, les Saulx, les Damas, les La Plu-Bouligneux pour, finalement échoir au deuxième maréchal de Médavy qui dut le vendre en 1721. En 1755, il fut acquis par Jacques-Antoine Adelon dont les ancêtres avaient fait fortune comme fermiers de la seigneurie. De lointains descendants le vendirent, en 1952, à M. Robert Thayer. Celui-ci en a entrepris la restauration.

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