Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

sousleschemins

18 avril 2016

un souffle de poésie en Ardèche

robert c

Pont-de-Labeaume est une petite commune du centre de la France, située dans le département de l' Ardèche et de la région Rhône-Alpes.
Elle fait partie de la Communauté de communes "Sources de l'Ardèche".
Les habitants et habitantes de la commune de Pont-de-Labeaume sont appelés les Balmipontins et les Balmipontines.
Les 577 habitants du village de Pont-de-Labeaume vivent sur une superficie totale de 5 km2 avec une densité de 115 habitants par km2 et une moyenne d’altitude de 300 m.
Depuis le dernier recensement de 1999 à 2008, la population est passée de 485 à 577 et a fortement augmenté de 18,97%.
Les villes voisines sont
Fabras, Chirols, Meyras, Lalevade-d'Ardèche, Prades.
La grande ville la plus proche de Pont-de-Labeaume est
Montélimar et se trouve à 38,37 kilomètres à l' est à vol d'oiseau.
Le maire actuel du village de Pont-de-Labeaume est Monsieur Yves VEYRENC.
Village 07380 Pont-de-Labeaume.
 

 

                      Pont-De-Labeaume

 

vacances ardeche aout 2013 004

vacances ardeche aout 2013 003

robert c

 

                           LE CHÂTEAU FORT DE MEYRAS
                                             dit
                              CHÂTEAU DE VENTADOUR

 

vacances ardeche aout 2013 180

Sur la route nationale 102, d’Aubenas vers Le Puy, à la sortie du village de Pont-de-Labeaume, on découvre brusquement l’imposante silhouette du château fort de Ventadour. Il dresse ses hautes murailles crénelées sur un éperon rocheux qui domine de 75 mètres le confluent des vallées de l’Ardèche et de la Fontaulière, tout près aussi de celui de l'Ardèche et du Lignon. Il est construit au carrefour de routes qui relient le monde méditerranéen et la vallée du Rhône au Massif central.

http://www.patrimoine-ardeche.com/visites/ventadour_n.htm

vacances ardeche aout 2013 120

vacances ardeche aout 2013 108

vacances ardeche aout 2013 105

vacances ardeche aout 2013 098

vacances ardeche aout 2013 088

vacances ardeche aout 2013 082

vacances ardeche aout 2013 074

vacances ardeche aout 2013 072

vacances ardeche aout 2013 087

vacances ardeche aout 2013 071

http://www.patrimoine-ardeche.com/visites/ventadour_n.htm

 

   Volcan de Coupe DeJaujac 

 

La Coupe de Jaujac son nom « Coupe » est attribué à la forme, évoquant, dit-on, une coupe à boire. « C’est l’un des volcans les plus réguliers de France, le plus parfait…… mêmehttp://www.sithere.fr/destination-patrimoine/volcanisme-et-geologie/les-sites--sitraPan648142--coupe-de-jaujac.html

vacances ardeche aout 2013 020

vacances ardeche aout 2013 013

vacances ardeche aout 2013 009

 

                 Pont de l'Echelette

 

                                      il enjambe le Lignon

 

vacances ardeche aout 2013 008

vacances ardeche aout 2013 004

vacances ardeche aout 2013 006

vacances ardeche aout 2013 001

 http://www.patrimoine-ardeche.com/visites/jaujac.htm

                       les gorges de Jaujac

 

vacances ardeche aout 2013 055

vacances ardeche aout 2013 052

vacances ardeche aout 2013 049

vacances ardeche aout 2013 060

http://www.medarus.org/Ardeche/07commun/07comTex/jaujac.htm

Publicité
Publicité
17 avril 2016

Château de la Rochepot

579135Le château de La Rochepot a été construit au XIII siècle  sur une butte calcaire au nord du village de La Rochepot . Il est situé à l'emplacement du château d'Alexandre de Bourgogne (XIe siècle) dont les ruines subsistent dans la forêt alentour. Le bâtiment a été restauré au XIXe siècle par la famille Carnot . Aujourd'hui habité et ouvert aux visites, une partie de son domaine boisé est en libre accès.

580959

579615

610847

615935

626015

627807

633663

639871

651647 - Copie

 

663167

 

669247

672639

678079

 

                   Historique

Les premières traces du château actuel remonte au XIIIème siècle édifié par les seigneurs de la Roche-Nolay. Cependant une présence d’un autre château un peu plus en hauteur pourrait remonter au XIIème construit sous Alexandre de Bourgogne à la place d’un fortin Romain. A noter que des traces de l’époque néolithique subsistent dans les alentours.
C’est au XVe siècle que le château va prendre le nom de RochePot. C'est en 1403 que Régnier Pot , chevalier de la toison d’or et du Berrichon, va acheter au prince de Savoie le château en ruine pour en construire un autre en contrebas. En 1428 va naitre Philippe Pot qui deviendra un célèbre chevalier de la Toison d’or dont son gisant est au Louvre. Plus tard c’est Anne de Montmorency ( Duc et maréchal de France )qui est le fils de Anne Pot et Guillaume Pot puis le cardinal de Retz qui seront acquéreurs.
La révolution française va cependant faire ces ravages habituels et sera vendu comme bien national en 1799. Le donjon sera détruit et le château transformé en carrière de pierre pour les communes avoisinantes. Par chance le château ne sera pas complètement détruit et seul le donjon et l’église vont subir des dégâts presque irréparables. La situation rocheuse et sa difficulté d’accès auront surement contribués à sa préservation.
  Le domaine est érigé en Comté pour François Blancheton, magistrat originaire de Nolay ( 1741 ).
Vendu nationalement après la révolution française, la destruction du château commença en 1808. Alors qu'il était dans une phase de destruction très avancée en 1893, M. Carnot entreprit de sauver les parties du XVème siècle.

639871

651647 - Copie

Il va rétablir le château selon les gravures médiévales mais il faudra plus de 25 ans de travaux pour le remettre en état. Des travaux long et cher qui ont permis de faire visiter au public les extérieurs seulement en 2003 !
A noter que c’est une propriété privée qui appartient aux descendants des Carnot.
Le village en dessous du château de la Rochepot est également un lieu à visiter, aux vieilles rues médiévales avec des anciennes demeures. De plus de longue promenade pédestres sont à l’ordre du jour qui vous permettra de voir de haut une vue superbe sur les alentours.
À la fin du XIXe siècle, le Colonel Sadi Carnot restaure avec grand soin, sur les plans de l'architecte Charles Suisse, l'ouvrage partiellement détruit à la Révolution.
Situé sur un python rocheux, au dessus de l’actuelle N6, facilement accessible par la route avec un parking gratuit, le château impressionne par sa hauteur et sa majestueuse corpulence affublés de donjon d’angle assez imposant. Malgré cela il à perdu lors de la révolution française son donjon principal, le château ayant servis, comme beaucoup d’autres, de carrières de pierre pour construire d’autres bâtiments. Ce donjon disparus était d’une hauteur de 30 mètre environ soit une dizaine de plus que ceux qui existent encore. Sa destruction rapide peut s’expliquer également par le fait qu’il était le symbole seigneurial que les révolutionnaires de l’époque s’acharnaient à détruire. Ses toits typiques de Bourgognes, que l’on peut voir notamment aux Hospices de Beaune, donne une touche de couleur non négligeable au château, ils ne sont cependant à priori pas d’origine.
Les intérieurs sont assez intéressants, dans certains cas je n’ai pas de photographies car ils l’interdisent, cela probablement pour éviter le pillage. Pourtant même si les intérieurs ne sont pas d’origine, il faut noter que beaucoup d’éléments appartiennent au 15ième siècle. J’ai pu noter un très beau coffre fort Italien forgé à la main dans la chambre du capitaine de garde, avec un mécanisme fonctionnant encore.
Des armes, dont de superbes arbalètes du moyen âge, qui à mon avis sont en parfait état de marche. Il faut rappeler que les arbalètes pouvaient pour les meilleures transpercer un homme de part en part avec côte de maille à plus de 100 mètres de distances. L’inconvénient majeur des arbalètes étant le rechargement long et fastidieux en comparaison avec un arc et également son encombrement d’où au fil du temps des meurtrières transformés en archères.
Les cuisines sont plus récentes, du XVIIe avec un système typique de bourgogne avec un système inversé de conduite de cheminée. En effet la fumée sortait par le bas via une canalisation adaptée pour ressortir vers une cheminée principale. On y note également un tourne broche manuelle dont il reste un élément. Tout un exemple d’ustensile de cuisines en cuivre mérite un intérêt….et le clou du spectacle étant une cafetière crée par Lavoisier s’inspirant des modèles italiens.
Une chapelle situé sur la gauche de l’entrée du château, ne représente plus grand-chose. Même si l’art gothique est omniprésent l’ensemble à été reconstruit sous Carnot. L’intérêt y est minime, seul les fondations et quelques pierres apparentes sont d’origines.. Quelques statues dont une 15ième et une du 17ième vienne agrémenté le tout, sachant que pour le reste il s’agit principalement de copie. On peut seulement constater la restauration très bien réalisée cependant.
Le puits au centre creuser à même la roche sur 70 mètres est également très beau et surtout reflète l’abnégation des habitants. L’eau étant essentielle lors d’un siège, ce puits est à lui seul un ouvrage rare par sa condition.
Pour finir si on se promène autour des ‘fossés’ rocheux on pourra remarquer un grand nombre de crevasse et de souterrain, fermés pour la plupart car très dangereux.

 

Origine Légendaire de la devise de la famille

 

"Pot"

En 1396 ( ceci est une histoire véridique ) Sigismond, Roi de Hongrie, se voyant menacé par les troupes musulmans du Sultan Bajazet, fit appel à l'ensemble des souverains chrétiens.
Une croisade se forma ou figurèrent de nombreux Bourguignons, sous le commandement du Comte de Nevers, devenu plus tard Duc de Bourgogne, sous le nom de Jean-sans-Peur; C'est d'ailleurs le courage qu'il montra au cours de la bataille qui s'engagea le 28 septembre 1396 à Nicopolis ( Bulgarie actuelle ) qui lui valut le surnom de " sans peur". Les chrétiens y furent écrasés par les musulmans. Parmi les rescapés du massacre figurait, auprès du Comte de Nevers, Le chevalier Régnier Pot, qui devint en 1403 Seigneur de la Roche-Pot ( appelée alors de la Roche-Nolay ).

Le début de la légende :

Le Sultan Bajazet aurait apprécié les mérites de Régnier Pot et lui propose de s'en faire un allié en lui donnant comme épouse sa propre sœur. La condition, courante chez les musulmans, était qu'il se convertisse à l'islam, ce que en bon chrétien Régnier Pot refusa en déclarant qu'il était déjà marié ( dans la religion chrétienne la polygamie est interdite alors que dans l'islam elle est autorisée voir conseillée avec quelques conditions ) et que sa religion lui interdisait le divorce. Il ajouta qu'il préférait mourir que d'abandonner la foi chrétienne. Furibond , le Sultan répliqua par " si c'est ainsi, tu vas avoir à prouver demain ta valeur dans un combat terrible".
Confiant dans sa bravoure, Régnier Pot, après ses prières habituelles du soir, s'endormit paisiblement. Mais au milieu de la nuit, il fut réveillé par une éblouissante lueur, sans d'origine céleste, car au milieu de celle-ci, il crut deviner la silhouette de la Vierge Marie.
La mère du Christ murmura simplement ces deux mots :
"frappe bas" et s'effaça dans la lumière qui bientôt disparut. Le lendemain Bajazet, remettant un cimeterre ( petit couteau ) à Régnier Pot, le fit mettre en présence d'un lion furieux ( très probablement affamé pour le rendre encore plus violent ).
Se remémorant sa vision, le chevalier leva les yeux au ciel et adressa à la Vierge Marie l'hommage qui devint la devise de la famille Pot :
" A la Belle, tant elle vault "
A ce moment le lion l'attaquât en rugissant. Mais Régnier Pot frappa bas, coupant les deux pattes de devant l'animal. Privé de ses moyens d'attaques, le lion fut facilement achevé par son adversaire.
Le Sultan Bajazet qui avait assisté au combat, exprima son admiration à Régnier Pot et lui rendit la liberté.

images

.Texte de : https://montjoye.net/chateau-de-la-rochepot

17 avril 2016

Chassey-le-Camp

 026

              Chassey-le-Camp

est une commune française, située dans le département de Saône-et-Loire et la région Bourgogne.

                    Histoire

Le village est réputé pour son site archéologique du Néolithique, situé en hauteur sur un plateau tabulaire.

Ce site a donné son nom à une culture du Néolithique moyen, le Chasséen.

La culture chasséenne est associée à une céramique remarquable dont les décors géométriques sont gravés après cuisson.

Découvert en 1865, le camp de Chassey a été fouillé de 1866 à 1880, de 1925 à 1927 et en 1953. De nouvelles fouilles dont le but était de préciser la stratigraphie ont été menées en 1969 par J.-P. Thévenot. Elles ont concerné une centaine de mètres carrés dans la partie méridionale du camp, à l’endroit où une structure défensive en arc de cercle, la « Redoute », bloque l’accès au plateau depuis le sud. Les résultats de cette fouille ont été publiés en septembre 2005 par la Revue Archéologique de l'Est.

018

024

028

029

17 avril 2016

Montceau-et-Écharnant

 034

                                Montceau-et-Écharnant

est une commune française,située dans le département  de la côte d’or et la région de bourgogne

                                  Lieux et monuments

Le village d'Écharnant, isolé, est aujourd'hui en grande partie ruiné, mais il conserve une chapelle templier du XIIe siècle, consacrée à saint Jean-Baptiste et restaurée à la fin du XXe siècles.Elle a également appartenu à l'Ordre de Malte.

                                          templiers

L’ordre du Temple était un ordre religieux et militaire,issu de la chevalerie, chrétienne du Moyen Âge, dont les membres étaient appelés les Templiers.

Cet ordre fut créé le 22 janvier 1229 à partir d'une milice appelée les Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon. Il œuvra pendant les XIIe et XIIIe siècles à l'accompagnement et à la protection des pèlerins pour Jérusalem dans le contexte de la guerre sainte et des croisades. Il participa activement aux batailles qui eurent lieu lors des croisades et de la Reconquête .Afin de mener à bien ses missions et notamment d'en assurer le financement, il constitua à travers l'Europe chrétienne d'Occident et à partir de dons fonciers, un réseau de monastères appelés commanderies .Cette activité soutenue fit de l'ordre un interlocuteur financier privilégié des puissances de l'époque, le menant même à effectuer des transactions sans but lucratif avec certains rois  ou à avoir la garde de trésors royaux.

Après la perte définitive de la Terre sainte en 1291 ,l'ordre fut victime de la lutte entre la papauté  et le roi de France, Philippe le Bel .Il fut dissout par le pape Clément V le 13 mars 1312 à la suite d'un procès en hérésie .La fin tragique de l'ordre mena à nombre de spéculations et de légendes  sur son compte.

                 Ordre de Malte 

La dénomination d'ordre de Malte est souvent utilisée aujourd'hui pour désigner plusieurs organisations différentes qui réclament pour origine l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

035

036

043

048

051

053

058

060

062

064

066

17 avril 2016

Château des Baux de Provence

          citadelle-baux-de-provence

                     Histoire

                                 Préhistoire et Antiquité

  Les capacités défensives des Baux en font depuis toujours un site attrayant pour l'habitat humain. Des traces d'habitat ont été retrouvées et datées de 6000 av. J.C, comme à la grotte de Costapéra, découverte en 1928, qui abrite un sépulture collective du Bronze ancien. La place fut utilisée par les Celtes comme un fort ou un oppidum autour du II siècle Av JC .Pourtant des quartiers périphériques au castrum se développent très tôt, comme celui des Trématé. Le passage depuis l'oppidum des Baux jusqu'à la plaine au nord des Alpilles se fait par un chemin protohistorique rejoignant, par le vallon de Laval, la ville de Glanons , qui prendra ultérieurement le nom de Glanum.

Alors que la Protohistoire est fortement marquée par le pastoralisme et l'agriculture dans les Alpilles, on extrait de la pierre calcaire dans des carrières aux alentours des Baux où a été mis au jour un atelier de la fin du IIe et du début du Ier siècle. Lors de la seconde partie du premier âge du Fer (VIIe ‑ vie siècles av. J.‑C.), la population se sédentarise et se met à construire en dur. Le castrum se structure à la manière d'un village avec ses rues et ses maisons adossées. Le processus d'installation permanente est à mettre en parallèle avec l'intensification des échanges économiques avec les commerçants méditerranéens. En échange de produits de luxe, les habitants des Alpilles produisent des céréales et passent d'une état d'autarcie à une véritable économie d'échange. Au cours des siècles suivants, la population des Alpilles diminue de façon conséquente : le comptoir grec d'Arles attire de nombreux habitants venus de toute la région.  

                                  Moyen Âge

Au Moyen Âge, il devint la place forte d'un domaine féodal contrôlant 79 villes et villages des alentours. La forteresse fut construite du XIe au XIIIe siècle sur une vaste étendue de sept hectares. Les princes de Baux contrôlèrent la Provence pendant de nombreuses années et y gagnèrent une forte réputation. Ils disaient descendre du roi mage Balthazar, ajoutant à leurs armoiries, une étoile d'argent à seize branches, pour rappeler celle qui, selon l'Évangile, guida les trois mages vers Bethléem. Leur devise était : « Au hasard, Balthazar. »

Article détaillé : Liste des seigneurs des Baux.

Place-forte médiévale située aux confins du Languedoc, du Comtat Venaissin et de la Provence, la forteresse a connu une histoire militaire mouvementée et été l'objet de nombreux assauts. Le solide donjon qui domine encore aujourd'hui rappelle l'importance de ce château, objet de toutes les convoitises au Moyen Âge.

Au XIIe siècle, les princes des Baux durent se soumettre à l'issue des guerres baussenques. Le grand château commença à être renommé pour sa cour fortement cultivée et chevaleresque. Le domaine s'éteint finalement au XVe siècle à la mort de la dernière princesse des Baux.

050

053

088

.

Publicité
Publicité
17 avril 2016

Cabottes

 

027

Une cabotte est une ancienne cabane ou resserre de vigneron dans les Côtes de Nuits et de Beaune  en  Côte-d'Or .

Fonction

Les cabottes ou cabotes, ou parfois cabioutes, sont des cabanes qui servaient autrefois d'abris ou de resserres aux vignerons de Côte-d'Or1.

Si certaines sont encore visibles dans les vignes, beaucoup sont aujourd'hui sous la forêt depuis l'abandon des parcelles de médiocre exposition à la suite des grandes maladies de la vigne à partir de 1860.

Ces cabanes, ainsi que les murs d'enclos et les pierriers (ou murgers) qui les accompagnent, sont les vestiges de l'extension maximale de la vigne au XIXe siècle et d'une époque de main-d'œuvre abondante et à bon marché.

Elles sont généralement en pierres sèches (calcaires) pour les plus modestes mais parfois en pierres maçonnées pour les plus belles

013

034

014

015

016

026

027

028

029

030

033

17 avril 2016

Village D’Orches

 

Orches

 

012

  Charmant village d'Orches adossé à des falaises inattendues, vous    offrira un panorama exceptionnel sur la vallée de la Saône

414

415

431 - Copie

433

434

440 - Copie

441

455

457

459

460

Trois villages situés au pied du magnifique rocher, connu aussi pour leurs intérêts de la flore (plantes méditerranéennes). Les visiteurs sont invités à visiter une magnifique église Saint Genêt et Saint Marc chapelle, sans oublier les ruines du village de Dracy ou la Chaigne fontaine avec les vestiges gallo-romaine.

.

17 avril 2016

Châteauneuf-en-Auxois

 

Château

 

713535

La forteresse de Châteauneuf-en-Auxois, en Côte-d’Or, d’architecture militaire bourguignonne du XVe siècle, garde l’extrémité sud de l'Auxois. Ce vaste vaisseau de pierre de 75 m de long sur 35 m de large, bâti sur un éperon rocheux situé à 475 mètres d’altitude, domine la vallée du canal de Bourgogne et est situé à 43 km de Dijon, à proximité de Pouilly-en-Auxois et de l’Autoroute A6.

                                                                                      Histoire

    La chapelle et le tombeau de Pot

Le château fut construit en 1132 par Jean de Chaudenay pour son fils cadet Jehan qui en pris possession en 1175 et devient ‘Jean I de Châteauneuf’. Face aux menaces de la Guerre de Cent Ans, les seigneurs de Châteauneuf bâtissent ensuite la puissante enceinte autour du donjon du XIIe siècle. Le règne de la famille s’achève après 9 générations avec une fin tragique en 1456 lorsque Catherine de Châteauneuf, dernière héritière, est brulée vive pour l’empoisonnement de son second mari, Jacques d’Haussonville.

En 1457, Philippe le Bon, duc de Bourgogne, attribue alors la forteresse à son conseiller Philippe Pot, également chevalier de l’Ordre de la Toison d'or et chevalier de Saint-Michel. Celui-ci modifie alors l’aménagement du château pour en faire une demeure plus confortable et qui correspond plus avec les fastes qui avaient cours à la cour des ducs de Bourgogne. Ainsi, une chapelle et les logis datant de cette époque ont été réalisés dans la cour du château, dans le style architectural gothique flamboyant. On peut retrouver à de multiples endroits la devise de Philippe Pot « Tant L Valt ».

À la mort de Philippe Pot en 1493, ce dernier n’ayant pas de descendance, le château revient à son frère Guy Pot, puis par l’intermédiaire de différentes alliances, à Marie Liesse de Luxembourg. À son entrée au couvent, le château passe à Charles de Vienne, comte de Commarin, pour rester dans les mains de cette famille pendant 150 ans. En 1767, Louis Henri de Vienne se sépare de l’édifice, le vendant à un riche banquier.

Lors de la révolution française, tous les symboles royaux et armoiries sont dégradés ou bien détruits. Le château est alors vendu aux enchères et passera ensuite de mains en mains jusqu’en 1936 quand le comte Georges de Vogüé donne la forteresse à l’État et que Châteauneuf et son village sont déclarés site protégé.

Depuis le 1er janvier 2008, la forteresse est propriété du conseil régional de Bourgogne à l’initiative de son président François Patriat. Ce changement de propriétaire est une conséquence de la loi de décentralisation d’août 2004, qui prévoyait le transfert aux collectivités territoriales de plusieurs dizaines de monuments et de sites classés appartenant jusqu’alors à l’État. La Région a maintenant la volonté de poursuivre sa restauration et d’en faire la pièce maitresse d’un projet patrimonial et culturel axé sur la Bourgogne ducale.

                                         Architecture

Le Château de Châteauneuf a été construit sur un éperon rocheux, d'abord le donjon carré au XIIe siècle puis au XIVe siècle l’enceinte et ses cinq tours reliées par des courtines. Le logis et la chapelle sont de style gothique.

722271

724063

720895

737663748223750079751519

720895

731455

715391716959718623

714047

 Histoire du Village de  Châteauneuf 

Les premiers vestiges trouvés sur le territoire de la commune datent d'environ 2500 ans avant J.C. Bien que situé à la croisée de deux axes de communication, la Brague et le Mardaric, il faudra attendre l'arrivée des Romains, vers -150 pour que ce territoire connaisse un plus grand essor . Sous l'influence romaine, une période de tranquillité s'installe et Opio se développe.

 

C'est peut-être la présence d'une source d'eau intermittente, attirant périodiquement la population, qui va être à l'origine de la construction d'une église et d'un baptistère sur le site du Brusc vers le Vème siècle.

 

Comme pour le reste de la France, la région connait une longue période troublée par plusieurs invasions jusqu'au XIème siècle. Avec la féodalité qui s'est mise en place, le site du Brusc retrouve de l'importance. Une imposante basilique est bâtie à partir de l'ancien édifice. La source intermittente, dorénavant captée au sein d'une crypte, attire de nombreux pèlerins et fidèles. L'église du Brusc devient un haut lieu de culte.

 

Vers le milieu du XIIème siècle, en raison d'une insécurité grandissante, les Seigneurs d'Opio érigent un nouveau château sur le point le plus haut de leur territoire à l'emplacement d'un ancien castelleras (ou oppidum). Ce château sera rapidement nommé Château Neuf d'Opio. De nombreuses gens "déménagèrent" d'Opio pour se placer sous la protection du nouveau bâtiment. Peu à peu, les relations entre les deux communautés vont se dégrader.

 

Au début XIIIème siècle, Châteauneuf se détache d'Opio et devient un village "indépendant". C'est à l'issue de cette division que l'église du Brusc passe dans le territoire de Châteauneuf.

 

Le Moyen Age est une période troublée par les luttes dynastiques des Comtes de Provence. A cette époque, il n'y a pas de moulin à Châteauneuf, mais il y a un four. Les cultures sont à peine suffisantes pour la population, le village n'a pas de fontaine, il faut aller chercher l'eau à la Colle de la Brague, source située dans le bas du village "à un trait d'arbalète". La fin du Moyen-âge est une ère de prospérité pour Châteauneuf, la population augmente : 350 chefs de famille en 1540. On note peu de choses pour la période de la Renaissance.

 

Au XVIIème siècle, on compte 2400 habitants logés dans 301 maisons. Sous la pression démographique, il n'y avait pas assez de terres pour tous. Le vin, l'huile, le blé et les figues sont les cultures principales et font l'objet d'un commerce actif avec Gênes par les ports d'Antibes et de Cannes. Notre Dame du Brusc qui avait terriblement souffert pendant les guerres de Religion est reconstruite, rendue au culte, on y vient prier pour demander la pluie.

 

Au XIXème siècle, en 1822, par décision royale, la Commune du Clermont est rattachée à Châteauneuf. En 1830, les hameaux des Bergiers sont distraits de Châteauneuf et rattachés à la Commune du Rouret.

 

739647741535

745183

753599

758591760127763039765599

767743

771455

772991

775423

.

17 avril 2016

Château de Savigny-lès-Beaune

 

001

Historique

 Ce château est bâti vers 1340 par le Maréchal de Bourgogne Jean de Frolois pour le duc Eudes IV de Bourgogne

Eudes IV de Bourgogne, (1295 - † 3 avril 1349, Sens), duc de Bourgogne de 1315   à 1349, comte de Bourgogne et comte d'Artois de 1330 à 1347, fils de Robert II, duc de Bourgogne (1272-1306), et d'Agnès de France. Il était donc, par sa mère, petit-fils de Saint Louis.

Par sa sœur ainée Marguerite de Bourgogne (1290-1315), il était le beau-frère du roi de France Louis X le Hutin et l'oncle de la future reine de Navarre Jeanne II, cette dernière étant également la cousine de sa femme Jeanne de France.
Par sa sœur cadette Jeanne, il fut le beau-frère de Philippe VI, premier roi issu de la branche capétienne des Valois.)

Il est détruit en 1478 par Louis XI en punition de ce que le propriétaire avait pris le parti de la duchesse Marie de Bourgogne contre Louis XI (sont conservés uniquement les corbeaux des mâchicoulis encore visibles sur deux tours).

Au début du XVIIe siècle le château est restauré par Étienne Bouhier et sa famille, puis par son fils Jean Bouhier, et son petit fils Bénigne Bouhier, qui fait construire le « Petit Château » après 1671.

En 1689 le château devient propriété de la famille de Migieu, puis par alliance au Général Comte de la Loyère et à ses descendants.

Le château et le petit château font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 18 octobre 1940.

Depuis 1979, le Château est propriété d'une importante exploitation viticole de la Côte de Beaune.

                                  Tourisme et musées

Le château et son domaine présentent :

  • un musée de la voiture Abarth avec 35 voitures de course et 600 maquettes au 1/43e dans le Petit Château ;
  • un musée de la moto, avec 300 modèles datant de 1903 à 1960 et 1 200 maquettes au 1/18e au 2ème étage du château ;
  • un musée de l'aéronautique avec 80 avions de chasse, avions militaires à réaction et hélicoptères dans le parc et 2000 maquettes dans le château ;
  • un musée du matériel vinaire et viticole  présentant du matériel agricole et 25 prototypes de tracteurs enjambeurs dans le Petit Château, et des pressoirs et des outils à main dans le château ;
  • un musée des pompiers  composé d'une vingtaine de véhicules d'intervention, sous chapiteau dans le parc.

026

073

033

040

032

071034

 

 

 

 

 

 

 

 

 

116

041

très déçue par l'état du château.

Je le trouve très mal   entretenu, les

couloirs, les escaliers, certaines pièces

sont délabrées.

039

058

060

059

062

069

091

092

094

 

 

 

 

 

095

100

106

107

.

17 avril 2016

Les 1 098 crimes des Hospices de Beaune

 

image

 

Il est fort étonnant que Joseph Boistot, pittoresque personnage entre tous, ne soit pas davantage connu du grand public. C’est sinon un héros, du moins un anti-héros… Celui dont les chansonniers se raillaient en composant des textes à succès dans lesquels il est appelé “Bois-tôt – Couche-tard” nait à Pommard en 1832.

Sa vie personnelle, qu’il prend soin d’ancrer au cœur de la bonne société beaunoise, en fréquentant des vignerons bourguignons prestigieux, a tout pour inspirer un beau roman sur les mœurs de province au XIXe siècle.

 

                           Le pédagogue

 

Le jour, Joseph Boistot est un homme qui, a priori, inspire confiance. Il va jusqu’à se donner des airs religieux, et, à l’occasion, il peut même manifester des signes de la plus grande piété. Une onctuosité de ses manières rassure le commun des mortels. Dans l’enseignement cette attitude fait merveille.

Boistot va faire carrière auprès des jeunes têtes blondes, d’abord à Combertault. Mais, contre toute attente, il quitte brusquement la ville pour émigrer à Sallanches, en Haute-Savoie. Est-ce l’appel des cimes ? Le désir de contempler le soleil se couchant sur les neiges du Mont-Blanc ? La réalité est moins poétique.

En fait, notre héros a dû fuir Combertault, confiera le maire de la commune. En secret, le docte magister y poursuivait de ses assiduités une jeune fille de seize ans. Quand le pot aux roses a été découvert, le père de ladite personne menaçait de lui réserver un mauvais sort. Boistot, le corps et l’âme rafraichis par l’air pur des cimes va-t-il entonner les Allobroges d’une voix sonore ? Va-t-il consacrer ses loisirs à cueillir des belles fleurs de montagnes pour réaliser un herbier ? Pour concocter un délicieux apéritif à base de gentianes ? Il n’en aura ni le temps ni le loisir… Voilà que dans la bonne ville de Sallanches, notre “Bois-tôt-Couche-tard” est convié à un mariage.

Lors du banquet de noces, il a pour voisine – le hasard faisant toujours bien les choses – une femme légère. Entre la tomme des Aravis, le vacherin à la crème et la pièce montée, le maitre d’école et sa nouvelle connaissance s’éclipsent pendant un couple d’heure. Cette échappée est fort mal jugée par l’assemblée. Adieu belles cimes enneigées ! Boistot doit quitter Sallanches en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, et le voici de retour dans son terroir d’origine, exerçant à Châteauneuf puis à Bouilland… où il ne tarde pas à rouler Bouillandins et Bouillandines dans la farine.

Cependant, dès 1855, M. Petitot, inspecteur d’académie, émet des doutes sur la moralité de cet enseignant atypique. Il lui reproche notamment une liaison adultère avec une certaine Mme Vielle, épouse d’un de ses collègues, professeur à Seurre. À noter également que, de son côté, Joseph est marié et père de deux enfants.

 

          Le commis de sous-préfecture

 

Pour autant, il faudra attendre 1863 pour que Jérôme Boistot soit finalement remercié de l’enseignement. Son mépris de la morale publique, à une époque où la morale était une discipline à part entière, enseignée dans tous les établissements de France, sous forme de leçons suivies de lectures et d’exercices, finit par lui être fatale. On peut cependant se poser la question : comment un individu qui mène une existence aussi scandaleuse parvient-il à entrer à la sous-préfecture, même en passant par la petite porte ?

Même pour y occuper un emploi modeste en qualité de commis aux écritures ? La réponse, en réalité est simple : c’est que Boistot l’enjôleur a des relations, toutes sortes de relations. Le scribouillard est un fêtard nocturne, et, quand le crépuscule tombe sur la sous-préfecture, c’est avec des puissants qu’il s’acoquine.

 

         Nuits de Beaune, nuits câlines

 

Ne nous enflammons pas. Que nul ne lise entre les lignes ce qui n’y est pas écrit. Pas d’amalgame hâtif. Tout ce que les villes de Bourgogne comptaient de notables et de bourgeois à l’époque où Joseph Boistot y menait grand train ne se précipitaient pas dans des salons plus ou moins tendus de pourpre dans lesquels se prélassaient des dames vivant de leurs charmes.

Pour autant, l’histoire nous révèle qu’à l’instar de Boistot, d’austères et respectables citoyens ayant pignon sur rue et réputation dûment établie depuis plusieurs générations se muaient, la nuit venue, en fort joyeux drilles ; Ainsi va la vie ! Sic transit gloria mundi, devait répéter Boistot pour épater ses conquêtes (conquêtes au demeurant plus sensibles à ses sous qu’à son latin). Et c’est ainsi que notre ami, grâce à son réseau beaunois de messieurs influents et bien placés devait poursuivre lentement mais surement son ascension sociale.

Mais comment cette incroyable ascension allait-elle conduire un obscur pédagogue à un poste lui permettant d’exercer certaines responsabilités aux hospices de Beaune ? Comment allait-il finir par se trouver en situation de passer aux assises en étant inculpé de 1 098 crimes ?

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 > >>
sousleschemins
  • Découvrez les châteaux de Bourgogne aux alentours de Beaune : une plongée fascinante dans l'Histoire ! A 30 km de Beaune et à proximité de Chagny, le Château de Couches est une imposante forteresse médiévale classée « Monument Historique »
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
Publicité